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Accélérer le combat contre le cancer avec la Fondation ARC
Reconnue d’utilité publique, la Fondation ARC est 100 % dédiée à la recherche sur le cancer. Son objectif : contribuer à guérir 2 cancers sur 3 en 2025.
Menée en toute indépendance et sur l’ensemble du territoire, son action est guidée par l’intérêt général et l’excellence scientifique : elle identifie, sélectionne, finance et accompagne des programmes de recherche prometteurs.
La Fondation ARC est exclusivement financée par la générosité du public. Elle est agréée par l’organisme de contrôle le « Don en confiance » depuis 1999.
Emblématique de son engagement en faveur des révolutions thérapeutiques contre le cancer, les résultats de l’étude SAFIR02-Breast, récemment publiés par l’équipe du Pr Fabrice André, nous donnent une image d’une recherche qui trouve : l’immunothérapie (réactivation des défenses immunitaires des patients contre les cancers) bénéficie aux patientes atteintes de cancer du sein triple négatif métastatique (très agressif). Une piste porteuse de grands espoirs.
Quelques exemples d’axes de recherche soutenus par la Fondation ARC :
Lutter contre les cancers agressifs : les cancers agressifs, tels que les cancers du pancréas ou du cerveau, étant résistants aux traitements actuels, leur prise en charge est aujourd’hui un défi de taille et nécessite le développement de nouvelles stratégies thérapeutiques. La Fondation ARC soutient donc des recherches pour mieux comprendre ces cancers dans l’objectif de mieux les traiter.
Faire bénéficier les jeunes patients d’approches thérapeutiques innovantes : certains enfants sont en échec thérapeutique, c’est pourquoi il est crucial de leur permettre d’accéder à des molécules innovantes. Ceci est possible grâce à la mise en place d’essais cliniques spécifiques soutenus par la Fondation ARC et réalisés dans des centres d’excellence.
Vers une médecine prédictive : si elles ont révolutionné la prise en charge de certains cancers en améliorant considérablement le taux de survie, les immunothérapies ne sont efficaces que chez 20 à 40% des patients. Pour 60 à 80% d’entre eux, la prise d’une immunothérapie s’avère inutile, peut entraîner l’apparition d’effets indésirables et représente une perte de temps. Il apparaît ainsi essentiel d’identifier des biomarqueurs permettant de prédire ses effets pour sélectionner les patients qui pourront en tirer des bénéfices.
